The Handmaid's Tale
The Handmaid's Tale : La Servante écarlate
Dans une dictature où la stérilité a frappé les femmes, ces dernières sont divisées en trois catégories : les Épouses, qui dominent la maison, les Marthas, qui l'entretiennent, et les Servantes, dont le rôle est la reproduction.
En cours | Américaine, CA, US | 50 minutes |
Drame, Science-Fiction, Drama, Science-Fiction & Fantastique | Hulu | 2017 |
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1.01 - Defred
Offred
Le gouvernement d'une société totalitaire du futur est confronté à un défi : la plupart des femmes sont devenues stériles. Pour enrayer le déclin de la population, les femmes fertiles, les Servantes, sont réduites au rang d'esclaves sexuelles. Offred, l'une d'elles, est donnée à un dirigeant de la junte...
Diffusion originale : 26 avril 2017
Diffusion française :
26 avril 2017
Réalisat.eur.rice.s :
Reed Morano
Scénariste.s :
Bruce Miller
,
Margaret Atwood
Guest.s :
Jordana Blake
,
Bahia Watson
,
Amanda Brugel
,
Alexis Bledel
,
Jenessa Grant
,
Nina Kiri
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 19 février 2018 à 15:02 |
Un superbe pilote pour cette série dystopique. C'est vraiment le genre de scénario que j'apprécie et en plus la réalisation, la photographie et les acteurs (actrices pour la plupart) sont excellents. Ca promet pour la suite ! |
Avis favorable | Déposé le 03 février 2018 à 03:32 |
Ça démarre plutôt bien même si on ne comprend pas tout ce qui se passe à cause de la situation très floue du monde dans lequel se situe la série, hâte d'en savoir plus à ce sujet ! |
Avis favorable | Déposé le 25 novembre 2017 à 09:42 |
une des plus grosses claques de sérivore depuis 10 ans tout genre confondu...C'est captivant , prenant mais personnellement un épisode par soir sinon je frôle la fièvre cérébrale si chère à nos illustres écrivains du XIX ème siècle Allez courage un Prozac et deux lexomil et vous atteindrez pour moi en tout cas le saint Graal de la série ..;... mais que regardez après ça? |
Avis favorable | Déposé le 08 novembre 2017 à 13:59 |
Effectivement, un bon épisode d'exposition qui présente de manière assez juste tous les éléments de l'univers dans lequel nous nous apprêtons à pénétrer. La réalisation est impeccable même si j'ai trouvé les effets de style un peu trop présents. Et mention spéciale à Elisabeth Moss que je ne connaissais que dans Mad Men et qui est ici sublime. L'épisode est passé à une vitesse folle. |
Avis favorable | Déposé le 08 octobre 2017 à 20:06 |
Ah oui, c'est en effet impeccable. Sur le fond comme sur la forme, on est sur de la qualité supérieure, c'est le cas de le dire. Le sujet de la série, cette dystopie centrée sur la cause (ou le sort) des femmes, ça met en exergue ce qui se passe dans notre société (en même temps, c'est le but), et c'est quelque chose qui m'atteint particulièrement depuis plusieurs années et de plus en plus maintenant. C'est donc assez difficile à regarder pour moi, personnellement. C'est glaçant, ça fait froid dans le dos, c'est juste terrible et terrifiant. Parce que c'est doux, lent, caché, sous-jacent. Et qu'on fait forcément le parallèle avec notre époque. En terme de format, c'est déstabilisant au départ, sachant que je ne suis pas forcément fan des flashbacks etc., mais on comprend au fur et à mesure ce qui se passe et ça semble au final assez logique, surtout que c'est très fluide et très fin. Le personnage principal n'est pas (en tout cas, pas encore) une super-héroïne, non, pour l'instant elle subit et c'est frustrant évidemment. L'épisode est magnifique (la photographie, mon Dieu), les acteurs de choix (Ann Dowd, cette psychopathe), l'écriture vraiment fine. C'est très dérangeant. Mais c'est bon signe, je crois. |
Avis favorable | Déposé le 07 octobre 2017 à 14:29 |
Magnifique Pilote, terrifiant et glaçant... Une ambiance non pas sans rappeler les meilleurs moments de black mirror... Ce qui ne laisse présager que du bon... Une merveille sur le fond comme sur la forme ! |
Avis favorable | Déposé le 05 octobre 2017 à 12:00 |
Très bon pilote. Je trouve l'idée de base absolument géniale et malsaine. On a très envie de voir la suite, notamment (surtout ?) grâce à la prestation d'Elizabeth Moss qui excelle dans son rôle de femme objet e(n apparence) avec un libre arbitre beaucoup plus présent que ce qu'elle laisse voir. Je rejoins Clara, son personnage n'est finalement si éloigné de Peggy. On retrouve ce côté "prisonnière", d'abord d'un monde d'hommes, et désormais d'une société qui a complètement vrillé sans qu'on sache pourquoi. Je suis impatiente de voir comment les choses vont évoluer, et surtout, de comprendre comment on a pu en arriver là. |
Avis favorable | Déposé le 07 septembre 2017 à 05:56 |
Spoiler
Excellent pilote ! Elizabeth Moss est tout aussi géniale que dans Mad Men, c'est bien de voir qu'elle s'en sort tout aussi bien dans un autre registre (bien que finalement June possède quelques similitudes avec Peggy). Par contre qu'est ce que c'est malsain... C'est difficile à regarder. |
Avis favorable | Déposé le 22 août 2017 à 17:46 |
Glaçant comme pilote, à la narration impeccable, portée par une Elizabeth Moss impériale, et surtout faisant des merveilles pour dépeindre un univers "fictif" faisant écho à notre réalité avec précision, en révélant progressivement juste de quoi nous donner le besoin de continuer à tout prix, quitte à être encore plus choqué par ce que l'on verra lors du voyage... La façon dont on découvre petit à petit les coutumes et la nouvelle norme est clairement ultra travaillée et dès le premier épisode, toute l'ambiguité de la situation ressort. Un des pilotes les plus efficaces que j'ai vus, sans aucun doute, avec une attention particulière au world-building, à la paranoïa et à l'instauration d'une dystopie. |
"I don't need oranges. I just need to scream." Offred est un superbe pilot, qui même après revisionnage, est toujours très impressionnant et terrifiant ! Qu'on aime ou qu'on aime pas, il nous fait en effet l'effet d'une terrible claque qui nous plonge direct et sans sommation dans l'enfer de Gilead, le jeu de la réal' et de la narration, permettant ainsi de nous faire ressentir dans nos tripes (oui, dans nos tripes) la condition de June, prisonnière passive d'un monde totalitaire de plus en plus fou et d'un corps qui ne lui appartient plus. C'est certes cruel et malsain, mais putain que c'est bon.